Maître UESHIBA est né le 14 décembre 1883 à
Tanabe, petite ville de l'île Hondo.
Très tôt, son père, propriétaire terrien
et notable de la ville, l’initie au maniement des armes (lance et sabre).
En
1901, il a 18 ans, il se rend à Tokyo où il pratique le Jujitsu et l’escrime.
En
1911 il rencontre maître Takeda dont il devient l’élève et apprend le Jujitsu
de l’école Daito ryu.
En 1918 il rencontre le Révérend O.Deguchi et devient son
disciple, parallèlement il étudie le Jujitsu de l’école Shingake ryu.
En 1924
il part avec le Révérend O. Deguchi en Mongolie, prisonnier des chinois il
revient à Ayabe 6 mois plus tard, puis s’installe à Tokyo où il enseigne son
art.
Maître UESHIBA meurt le 26 avril 1969 à l’âge de 86 ans
L’AIKIDO
Maître UESHIBA, a défini en 1929 les principes de l’Aïkido en intégrant aux techniques des arts traditionnels purement physiques les valeurs morales de l’être humain. En effet, la pratique de cette discipline non compétitive n’a pas pour objectif final la destruction de l’adversaire, mais au contraire, un échange d’énergie propre à désamorcer l’agression et à évacuer la situation de conflit.
Maître UESHIBA, a défini en 1929 les principes de l’Aïkido en intégrant aux techniques des arts traditionnels purement physiques les valeurs morales de l’être humain. En effet, la pratique de cette discipline non compétitive n’a pas pour objectif final la destruction de l’adversaire, mais au contraire, un échange d’énergie propre à désamorcer l’agression et à évacuer la situation de conflit.
L’Aïkidoka utilise prioritairement l’esquive;
pour éviter tout heurt, il guide l’attaque de son partenaire en le contrôlant
au maximum jusqu’au point de déséquilibre.
A ce moment l'Aïkidoka choisit la
projection ou l’immobilisation s’accordant le mieux aux énergies déployées et à
l’efficacité recherchée.
Harmonie et équilibre caractérisent les techniques
de l’Aïkido qui, à travers elles, constitue une méthode d’éducation complète.
Cet art martial “philosophique” contribue à l’épanouissement physique, mental et relationnel de l’individu.
Cet art martial “philosophique” contribue à l’épanouissement physique, mental et relationnel de l’individu.
